Ursula Collombier

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Conseils nutrition d'Ursula

 

Les conseils essentiels sont offerts en permanence sur ce site,

enrichis de plusieurs domaines avec les liens, d'autres sites, des ouvrages et des vidéos de ma sélection, permettant de trouver un complément d'information, et prendre ainsi les bonnes décisions qui s'imposent...

 

Dans la nutrition, ils est plus important de considérer ce qui sort, plutôt que ce qui rentre, nous mangeons trop !

 

En ce qui me concerne personnellement, depuis la fin de mes études de naturopathie en 2007, je poursuis ma formation en autodidacte et j'enrichis mes connaissances chaque jour, avec entre autres les vidéos de :

Dr Henry Joyeux, Dr Christian Tal Schaller, Marion Kaplan (nutritionniste), Thierry Casasnovas, etc. que je vous invite à consulter régulièrement sur YouTube (surtout si vous avez une affection particulière).

Si vous souhaitez aller plus loin dans le domaine de l'épigénétique, je vous invite à visiter cette page, et à participer à un séminaire du Pr Aziz El Amrani Joutey, dont je suis ses enseignements depuis 2006, il unifie les concepts et va au delà ... dans notre conscience.

Depuis 2015 j'intègre l'apport de la Fondation Keshe, qui  a permis a beaucoup de chercheurs de connaissance d’atteindre un pas dans le domaine des énergies libres.

 

Dans tous les cas : Il n'y pas meilleur nutritionniste que soi même !

Cela devrait être enseigné dans les écoles...

 

Le conseil apporte la prise de conscience, propose les choix qui vont aboutir à des changements concrets et à l'amélioration.

 

En réalité, nous n'avons besoin de rien ni de personne, juste parfois un petit coup de guidance...

Et comment dit le dicton : "Il est plus facile de prévenir que de guérir".

 

Je serais ravie de vous conseiller, mais prenez conscience que le thérapeute c'est VOUS !

 

Lors des consultations et accompagnements nous pouvons établir :

un bilan vital

qui donnera lieu à une démarche à suivre selon besoin :

  1. Conseils nutrition
  2. Que dois-je manger ?
  3. Information sur les cures & portes d'ouverture ;
  4. Accompagnement au changement de nutrition et développement personnel, en préparation sur mon nouveau lieu dans les Cévennes

 

 

Gardons toujours dans l'esprit : que rien ne sert à notre corps de manger sain, bio & végétarien si nous ne sommes pas en mesure de

 

"digérer" l'autre avec amour !

 

Cet apprentissage d'amour envers Soi et de son corps, ainsi que la relation avec l'autre, est le travail de toute une Vie.

A mon sens, l'accomplissement c'est de rayonner la joie (sans raison...),

 

le véritable état de l'être !

 

Tout ce qui est important à connaitre à la base, les fondamentaux !

Thierry Casasnovas, est visiblement un exemple extraordinaire de crédibilité concernant les paramètres de santé. Voici, Thierry 2018.

C'est mon meilleur prof NATURO, MERCI MERCI MERCI

Je vous invite vivement à visionner la conférence remarquable qui suit, sur cette même vidéo.

Ainsi le disait Hippocrate... 

 

"Que ton aliment soit ton médicament" 

prenez le temps de regarder cette vidéo clic sur ce lien

 

Mais quelle confusion règne dans ce domaine.

 

Il m'a fallu deux ans, en tant que conseillère en nutrition, dans un magasin pour constater le "flottement" et la perte de bon sens dans ce domaine de l'alimentation qui est pourtant vital.

 

Il faut bien différencier nutrition (nourrir les cellules de notre merveilleux organisme) et manger, ce que beaucoup de personnes font par habitude, tradition, suivant la mode, la publicité (mensongère, trompeuse...aie !!!)

 

C'est pourtant simple de retrouver le chemin du bon sens.

Manger moins et mieux, être conscient de ce qu'on mange, car c'est de l'énergie information, manger au calme et savourer. Il vaut mieux faire un jeûne que de manger n'importe quoi !
 

La terre a été appauvrie et trafiquée, de ce fait consommez BIO, mais pas besoin de choisir des fruits de l'autre bout du monde. Allez au marché, faites travailler les agriculteurs du coin qui adorent faire vivre leur terre. Même si leurs produits ne sont pas labellisés (ni parfaits), assurez vous juste de la qualité (sans pesticides ni engrais chimiques) et de la fraîcheur, car ils perdent vite leurs vitamines. mangez-les rapidement, ne laissez pas traîner dans le frigo.

 

Préférez-les crus (surtout en été), important au début du repas, et si vos intestins le supportent ; et avant tout procurez vous un extracteur de jus de légumes (toutes les vitamines et minéraux, sans les fibres qui peuvent être irritantes). La cuisson doit être faite seulement à basse température (Vitaliseur de Marion) et juste le temps pour qu'ils restent croquants.

 

Il faudrait tenir compte du besoin de dépollution de l'organisme et le renforcement de l'immunité afin d'établir un programme individuel

 

Avec nos attitudes nos allons réussir à tout rétablir : nos intestins (notre deuxième cerveau) et notre terre (notre mère nourricière) Il faut surtout prendre conscience de notre pouvoir à faire évoluer la situation et à nous remettre en forme !

 

Surtout pas de frustration et accepter toutes les invitations à déguster à pleines dents, la joie du partage est essentielle !

 

 

‘‘Quand quelqu'un désire la santé,

il faut d'abord lui demander

s'il est prêt à supprimer les causes de sa maladie;

alors seulement, il est possible de l'aider’’.

Hippocrate (460av. JC-377av. JC)

La force réside en notre vitalité, en cette fantastique capacité d'auto-construction (développement de l'être physique et spirituel) et d'auto-régénération (cicatrisation des blessures - physiques et morales-, renouvellement permanent de l'ensemble des cellules de notre corps), dont chacun d'entre nous dispose, que chacun se doit de préserver et de mettre à profit.

 

Bien entendu que notre première nutrition est celle de notre esprit, d'où l'importance, avant de considérer ce qui nous mettons sous la dent, de veiller à ce qui habite nos pensées et réaliser l'importance des souffrances qui peuvent entrainer, si elles sont négatives. Nous pouvons renverser ce processus de la pensée afin de réfléchir notre création et l'ouverture consciente.

Il n'y pas meilleur médecin et nutritionniste que soi même !

 

 

Excellent texte :

 

l'Amour dans l'Assiette

Par Jean-François Coulange

Pour vaincre la décrépitude du Corps et du Visage et reculer les limites de la mort en hommage à Georgia Knap.
Vous allez mieux comprendre les grands principes alimentaires après cette
lecture. C'est certainement un sujet de la plus haute importance, LE sujet, par tous les domaines qu'il concerne. Toute notre qualité de vie, santé, environnement, économie, même industrie sont impliqués. Nos méthodes de production, notre façon de soigner les conséquences de notre méconnaissance des "mécanismes alimentaires", atteignent la limite absolue.
Rien qu'avec la seule disparition des abeilles, une des nombreuses conséquences de notre façon de nous nourrir, les conditions nécessaires au maintient de la présence de l'homme sur notre.
Surtout vous deviendrez plus autonome, vous saurez comment rester en forme, ou vous remettre sur pied, choisir vos priorités alimentaires, identifier les types d'aliments qu'il vaut mieux éviter, ceux à supprimer, et les clefs d'un bien-être permanent.
Vous pourrez enfin comprendre comment notre aliment peut devenir notre seul médicament.

Je ne saurai aborder tous ces aspects ici, je m'en tiendrai donc à vous permettre, à travers quelque points, que le sujet est plus vaste et plus mal connu qu'on ne l'imagine de prime abord.
Les approfondissements à venir complèteront ce mieux comprendre comment "manger pour vivre", quand on s'en tient au projet de la nature, est source de sérénité permanente.

La nature de la relation alimentation/santé, ce qui est déterminant dans ce comburant pour que sa qualité soit au rendez-vous avec notre génétique, reste encore très flou.
Notre horloge biologique étant de 140 ans, comment cela se fait-il que nous en soyons si éloigné ?

"De la qualité des informations qui circulent entre les individus d'une même espèce, dépend la survie de cette espèce. Lorsque les informations sont tronquées ou faussées, l'espèce disparaît"
Je prépare un documentaire et un livre, enfin clairs et complets, sur l'alimentation, et j'avais envie de vous en parler, en avant-première, en espérant que cela vous donnera l'envie d'en savoir plus.

Pourquoi avons-nous tant de mal à y voir clair ?
La nourriture ce sont d'abord les souvenirs d'enfance, les petits plats que nous préparait maman qui, au lieu de dire "je t'aime", de nous prendre dans ses bras, de verbaliser et d'exprimer son amour par diverses attentions, nous concoctait dans son pré carré, la cuisine étant son domaine, des plaisirs culinaires, comme preuve de son affection et de son attention.
Aucun jugement de valeur, juste un constat, un piège éducatif, tellement inscrit dans les mœurs Les confitures et les bons gâteaux de grand-mère, les repas entre ami(e)s, la tradition identitaire, celle de nos pays d'origine, "on est du pays de son enfance" disait Antoine de Saint-Exupéry, complètent les ingrédients affectifs qui se glissent dans nos bouchées.
Quel meilleur vecteur que la nourriture pour en perpétuer le souvenir tout au long de notre existence. N'importe quel croissant mou et spongieux de grande surface, n'ayant plus grand chose à voir avec la recette originelle, n'est souvent acheté que pour l'image qu'il projette.

Même la religion peut déterminer quelle nourriture consommer ou non.
Toutes les facettes de notre vie en société influencent les choix conviviaux et affectifs. La nourriture, par ce qu'elle représente, finit par avoir plus de sens que sa réalité intrinsèque et son utilité. Nous mangeons des images, des émotions, qui se tapissent aussi bien dans un hamburger que dans un faisan, ou un vin de Bourgogne aligoté.
D'ailleurs on mange un "Mac Do", devenu un baromètre de niveau de vie, pas un hamburger. Au final, dans l'assiette, il n'y a plus que de l'émotionnel.
Très difficile d'y toucher parce que ce n'est pas le changement d'alimentation qui bloque, c'est le reniement de certaines valeurs communautaires au sens large.
Malgré de nombreuses tentatives multi-millénaires, et beaucoup de bonne volonté, l'état des lieux sur le sujet reste donc assez flou, dogmatique parfois, voire sectaire.


C'est juste normal, depuis le temps que l'homme ne vit plus dans la nature, il en a oublié les lois
Dans le meilleur des cas il reste un observateur extérieur, pétri de culture, et devient incapable, malgré quelques lueurs, de penser et d'observer, sans point de vue, l'état des choses.
Il se trouve que, sans que j'en sois "responsable", c'est quelque chose qui m'a interpellé très tôt.
Non pas sur un plan philosophique, qui pour faire court, s'avère être une conséquence de notre état, une tentative de rattrapage, et non un motif d'amélioration.
C'est à travers son histoire, son rapport à son environnement, que nous pouvons identifier ce qui a mené l'espèce humaine à toutes ses particularités de comportement.
Il y a de nombreuses pistes à suivre pour en débrouiller l'écheveau, mais comme pour le nœud Gordien, il se trouve un point central, dans lequel nous pouvons trancher, pour libérer le reste des ramifications quasi infinies. C'est la manière dont l'homme se nourrit depuis environ 400.000 ans.
Dans tous les cas, quelques soient les aides et les mesures prises par ailleurs, on ne peut pas faire l'économie de comprendre l'alimentation et d'au moins savoir ce que l'on fait.
Toute pratique associée à une alimentation non perturbante, et vitalisante, verra ses effets.

Voici le fil conducteur de ce tour d'horizon qui va vous le permettre.
Petits rappels, et précisions, pour certains et approche pour les autres.
N'importe quel animal au monde, on l'étudie dans son biotope, avec sa palette alimentaire, son type de comportement, les caractéristiques de son environnement...
On a simplement oublié de faire la même chose pour l'Être Humain...
Animal sortit de son biotope, il se promène partout sur la planète, va même dans l'espace et ne consomme que des structures biochimiques.
Tous nos nutriments sont issus d'une longue sélection qui échappent à l'instinct, c'est-à-dire au rôle que voudrait bien tenir notre palet, notre odorat, rendus incapable, par cet éloignement des structures originelles, de discerner correctement ce dont nous avons besoin.

Ce que nous ne pouvons consommer cru, qu'il nous faut cuire ou assaisonner, nous indique qu'à l'état brut notre organisme n'y est pas très disposé. Dès lors qu'il nous faut transformer une forme alimentaire, qui devient par ce processus autre chose, inconnue de l'ensemble de nos détecteurs, pour pouvoir "l'apprécier" et l'ingérer, il faut douter du besoin que nous en avons.
S'y ajoutent les phénomènes culturels, propres à chaque civilisation, qui font que telle chose nous semble consommable, et pour un autre peuple, représente une quasi aberration.
Pour l'instant cette première étape nécessite de ne pas considérer la situation anormale dans laquelle nous sommes et qui peut, éventuellement, tirer profit d'ingrédients anormaux, voire synthétisés, pour rétablir un équilibre ponctuellement salutaire. Il nous faut partir de la nature, de son fonctionnement, en dehors de tout type d'approche purement humaine.
La longue sélection de nos structures alimentaires, de leur mode de préparation, s'est faite, inconsciemment, sur le critère de "Bon pour tout le monde, tout le temps".
L'importance du mécanisme de l'instinct , au sens large, qui permet à un individu de trouver dans son environnement, il n'y est pas par hasard, les lions ne vont pas chasser la gazelle au pôle nord.
Un documentaire d'Arte, sur "les Animaux Médecins" le montre bien : Les animaux n'ont aucune connaissance en herboristerie, le jour ou ils ont besoin d'une plante, elle sent bon, et elle est bonne, jusqu'à ce que son goût change quand le besoin est satisfait. Un chat se purge quand il en a besoin et que la plante est disponible. Le lendemain il n'y touchera plus.
Essayez, le jour ou vous le trouvez délicieux, de manger de l'ananas. Si vous continuez, à un moment le goût change, devient acide, impossible de continuer. Pourtant ce même ananas sera excellent pour votre voisin. C'est bien votre organisme qui vous dit stop.
Quand il s'agit d'un nutriment relativement identifiable par nos récepteurs, le goût change parce que vous dépassez le niveau d'utilité. Par contre, si vous en faites un petit beignet caramélisé et flambé au rhum ! Vous pourrez probablement continuer à en manger.
Puisque votre organisme ne l'identifie plus comme de l'ananas.
Sabrina Krief, vétérinaire, maître de conférence au Muséum National d'Histoire Naturelle, s'est penchée sur la question avec "l'Automédication chez les chimpanzés". Elle en a rapporté de nombreuses observations très utiles, mais ! Le principe même de ce mécanisme dont je vous parle, remets en question toutes les méthodologies d'études qui continuent de présupposer des
connaissances de la part des animaux. Même s'il y en a parfois, c'est très marginal. Certaines espèces n'ayant, comme les papillons, qui ne vivent qu'un jour pour certains, pas la possibilité de transmettre quelqu'enseignement que ce soit à leur descendance.
Admettons que l'ensemble de l'univers parle la même "langue", que ce langage soit essentiel pour que l'identification, et l'utilisation, d'une structure alimentaire fonctionne correctement.

La cuisson, c'est tout simplement de la chimie. Nous pensons à celle des cultures, et oublions celle de la casserole. L'élévation de température, même la vapeur, augmente la vitesse des molécules, elles s'entrechoquent, se cassent, se recombinent, et forment des structures nouvelles.
Un peu comme une voiture, réduite à l'état de cube par compression, comme le faisait le sculpteur
César... Demandez à votre garagiste, avec ses petits outils, de la remettre en état pour rouler.
Les Inuits consommaient, à l'opposé de notre palette alimentaire, essentiellement des protéines animales. Ils étaient pourtant en bonne santé, mises à part les périodes de famine.
L'explication tient au fait que ces protéines ont été inventées par la nature et qu'elles étaient
Ils auraient mangé la même chose cuisiné, évidemment, le résultat aurait été totalement différent.

Géorgia Knap nous a aussi, en son temps, fait une démonstration étonnante. L'homme aux quatre-vingt métiers était à cinquante ans vieux, bouffi et fatigué. Trois marches à monter et il était déjà essoufflé. Connu comme inventeur, il convoque un jour la presse, et leur dit "A partir de maintenant, je vais rajeunir". Ne se formalisant pas de leur incrédulité, il leur donna rendez-vous, pour ceux qui seraient encore là, dix ans plus tard, au pied de la Butte Montmartre. De fait, dix ans plus tard, il affichait la forme de la quarantaine. Alors qu'il fêtait ses soixante ans. Et ainsi, tous les dix ans, il les convoquaient, ils constataient son rajeunissement et sa forme, n'oubliant pas, même à 80 ans alors qu'il en faisait trente cinq, d'escalader en courant, en invitant les journalistes à le suivre, les longs escalier de la Butte Montmartre... Et Georgia Knap arrivait toujours premier. Sa forme venait de son nouveau régime alimentaire, d'une activité physique quotidienne, et des
fameux "Points de Knap", points de pressions sur le corps, particulièrement efficaces:
Un éléphant fait des tonnes de muscles, des tonnes d'os, et ne consomme que des feuilles. Pas besoin de toute cette palette dont on ne cesse de vouloir nous convaincre. La caractéristique le plus importante, la première question c'est : Est-ce que ce que je m'apprête à consommer parle le langage de la nature ? Deux : Est-ce que c'est bon ?
Il n'y aurait pas un peu d'alchimie là-dessous ?
Imaginez l'alphabet de la nature, écrit avec ces petites lettres en plastiques que nos chérubins
C'est un peu comme si vitamine C, par exemple, était le résultat de l'assemblage des lettres qui compose le mot Vitamine C. Notre organisme, celui de l'éléphant, va savoir réorganiser ces lettres.
Mettre les lettres composant un légume dans une casserole, ou un shaker, et chauffer ou agiter !
Vous avez une idée du résultat. Fondues, cassées, quasiment inutilisables pour composer quelque nouveau mot que ce soit. Même problème pour notre organisme, vu l'état dans lequel on lui fournit.
Pour mémoire, c'est à partir de 40° que commencent d'importantes modifications moléculaires. Cela est possible de l'éviter avec le Vitaliseur de Marion.
En biodynamie, pour respecter l'aspect calorique naturel, on surveille le compost pour qu'il ne chauffe pas. Les plantes seraient mal nourries et plus fragiles, sujettes à maladies.
Ce qui reste anecdotique dans la nature, devient systématique dans les cultures et dans la cuisine.
Nos enzymes se retrouvent donc souvent impuissants et nous allons utiliser énormément de sucs gastriques pour arriver à brûler ce qu'ils ne peuvent plus du tout traiter comme il le feraient avec des produits vivants et frais, l'état dans lequel nous sommes censés les consommer.

Il y a matière à approfondir, bien des questions surgissent, la fameuse adaptation, l'évolution, etc.
Tout ceci sera abordé dans le documentaire.
Comment réfléchir aux grands principes de l'alimentation avec quelques images.

1 - Introduction connue : "On est ce que l'on mange"...

2 - Développement : On ne mange que des "trucs" qui ne sont pas censés d'exister

3 - Conclusion : On devient un "truc" qui n'est pas censé d'exister...

Si l'univers était fait d'eau, nous serions un morceau de plastique.
Ce qui explique aussi que, notre pensée, nos émotions, étant atteintes par notre état bizarre, nous ayons bien du mal, avec nos pensées de plastique comme référent, à comprendre la vraie nature de l'univers/eau. Encore pleins d'approfondissements en vue...
Le meilleur des ordinateurs du monde exprime ses capacités avec l'alimentation, l'énergie - 220 V par exemple - pour laquelle il a été conçu ! Si je lui change son "alimentation"...
Inutile alors de bidouiller dans les programmes, ou de changer les composants qui fondent. Il faut, avant toute chose, lui rendre son type d'énergie.
Si notre palette alimentaire mérite quelques éclaircissement quant à sa composition originelle, nos organes n'ont jamais été prévu pour traiter ce qu'on leur impose.
Cinquante ordinateurs strictement identiques, avec le même dérèglement, du 260V, par exemple, vont dysfonctionner de façon de plus en plus différente. Et dans l'exemple de l'ordinateur ils ont pourtant une cause unique et identique à la base de leur dérèglement. Idem pour nous. Sauf que
nos différences sont plus importantes, et les causes multiples. C'est comme s'il n'y avait qu'une seule cause de "mal-a-dit", physique ou émotionnelle :
Ne pas respecter les types d'énergies dont notre génétique a besoin.
Mouvement, lumière, chaleur, alimentation vivante et végétale, etc.
Il suffit presque toujours de seulement les rétablir, ce qui du coup arrête aussi toute perturbation,

pour qu'il retrouve sa lucidité, ses capacités de gestion et de régénération.

Les capacités de notre ADN relèvent mathématiquement de l'infini...

On a de vraies surprises concernant ses facultés d'auto-régénération.

De plus il peut se relier, quand son état le lui permet, à des sources plus "éthériques" d'énergie.

Voire totalement, comme ces personnes qui vivent sans boire et sans manger. C'est rare,

anecdotique, mais ils le font ! Leur démonstration nous est plus que précieuse pour comprendre

que quelque chose se passe bien en deçà de la structure chimique, même biochimique.
Il y a donc nécessité de se pencher plus avant sur la nature de ce qui nous fournit l'énergie vitale.
Au bout du bout de l'univers quantique... "La matière" n'existe pas !

Conclusion : À l'autre bout non plus.
Ce n'est qu'une question d'échelle d'observation. Comme quand on change de focale avec un microscope électronique. On passe de la feuille à la nervure, aux cellules, aux atomes, jusqu'à ce que la matière ait "disparue". Il nous reste des "champs d'énergie" difficilement observables.
Quand on considère que nous ne connaissons que cinq pour cent de la masse de l'univers. Il y a bien des choses dont nous n'avons aucune idée. Et parmi elles certainement de bien utiles et nécessaires. Quand on modifie la matière à notre échelle, on la modifie jusqu'au fin fond de l'univers quantique. Les OGM ne sont pas seulement des modifications au niveau de l'ADN.
Quand on introduit des séquences du monde animal, dans du végétal, c'est comme mettre du hard rock dans du Mozart. C'est une cacophonie qui se propage dans la nature et perturbe le fonctionnement de tous les ADN. Mozart qui apaise si bien, les enfants excités, les bébés qui pleurent, perdrait toute son efficacité.
Dans le documentaire "Propos sur la Conscience", que je propose, on ressent cette identité de fond de ce que l'on appelle la matière d'un côté, l'esprit, le conscience, de l'autre. Cette unité devrait être valable pour nous aussi, si nous n'étions devenu ce fameux morceau de plastique.

C'est exactement ce que j'ai profondément ressenti et vécu, au bout de ma précédente expérience d'alimentation originelle, en me régénérant selon les lois de la nature. Un état de bien-être absolu.
Pas de douleur ni de stress possible. Une communion, comme la goutte d'eau dans l'océan, avec la nature. Le "Je" disparaît. Aucune différence entre un arbre et moi. Le paradis.

Comme déjà évoqué, ces perturbations n'atteignent pas que notre physiologie, toutes les autres dimensions sont atteintes. Dans notre ordinateur, il n'y a pas que les composants électroniques qui ont des soucis, par implication des dysfonctionnements matériels pour lui, physiologiques pour nous, ses programmes, son "intelligence", ses capacités sont fortement bousculées.

Le comportement de l'être humain devient lui anti-vie. Sa violence très particulière, massacrer, torturer, sa propre espèce, par exemple, est unique dans le monde animal. Les perturbations neurologiques, le stress dévastateur, bien que d'origines multi-factorielles, la carence en activité
physique, en mouvement, nous coûtent aussi très cher.

Une école australienne, en accord avec les familles, a totalement supprimé, pendant quinze jours, les additifs de l'alimentation des enfants. Le résultat a été impressionnant. Capacité d'attention et calme dans les classes, récréation quasi silencieuses. À la maison participation souriante d'enfants auparavant réticents et colériques, devenu tout simplement sereins. Quinze jours seulement. En ne se préoccupant, pour seul changement, que des additifs !
Remontons un peu le temps. Jusqu'à l'apparition du feu, sur le plan archéologique, aucune trace de maladie. Et pas de traces de guerre non plus, d'ailleurs. L'interprétation bien faite des restes humains de cette époque, essentiellement l'étude de la soudure des os de la fontanelle, indique
l'évolution du processus osseux, et permet de déterminer l'âge. Nous constatons que l'homme d'avant l'apparition du feu, vivait vieux et en bonne santé. Sauf que, dans la plupart des études, nous comparons cette soudure de la fontanelle avec le crâne d'un homme contemporain dont on connait l'âge. À la quarantaine, le type de soudure correspond. On en déduit un peu vite que notre ancêtre vivait trente cinq, quarante ans ! Problème, son alimentation était totalement, mais alors là totalement, différente. Et le processus d'ossification beaucoup plus lent. Il avait donc plus facilement cent quarante ans que quarante. Et pas une carie... Juste les dents usées.
Pas d'obésité, ni de maladies en général pour les espèces sauvages, dans leur biotope... Sauf que cela est de moins en moins vrai... Sachant que l'on trouve des traces de DDT dans des carottes glacières de 40 mètres de profondeur, qu'il n'y a plus un milligramme d'air totalement pur, et qu'ayant brutalement rétrécis, voire détruits, les espaces de vie de ces formes sauvages, les conditions d'études sont devenues assez "artificielles" et de plus en plus délicates à manipuler.

Si l'on s'en réfère à notre type d'organes, et à notre biotope originel, si l'on classe l'être humain avec les mêmes critères que ceux utilisés pour n'importe quel animal au monde :

Nous sommes essentiellement "frugivores/végétariens", censés consommer plusieurs kilos de végétal quotidiennement, frais, vivant, cueilli sur l'arbre, plein d'une eau "bio-compatible", directement assimilable, bourrée de biophotons ... Vous pensez toujours à l'évolution, à l'adaptation ? Pour ce qui concerne nos mécanismes alimentaires, notre génétique est stable depuis des centaines de milliers, voire des millions, d'années. Nous confondons souvent tolérance et adaptation. La tolérance c'est le manque de réaction. Un produit toxique pour un animal en bonne santé sera généralement identifié, et signalé, par l'instinct. Mais la stratégie de la vie invente aussi des pièges. Savez-vous que les acacias, grignotés par les gazelles du désert, avertissent à des kilomètres les autres acacias de leur arrivée ? Ils ont ainsi le temps de développer des toxines. Et les gazelles font bien sûr la différence et ne les grignotent pas. Qui le leur a dit ? Leur palais.

Une autre carence mal identifiée, directement liée à notre mode alimentaire, et aux conséquences peu étudiées : le défaut d'hydratation...
Même en buvant beaucoup cela reste une question d'assimilation. L'eau vivante du végétal hydrate à fond. Dans cinq kilos de verdure, vous avez facilement quatre kilos cinq de jus.
Nos cousins les grands singes, et les petits, vont peu à la rivière. Il faut l'obstination des cinéastes pour guetter patiemment les exceptions...
Sans se rendre compte que ce n'est qu'une source occasionnelle et accessoire d'hydratation, ils l'incluent dans leurs reportages comme un rite normal.

Bases des mécanismes d'hydratation :
Bio-compatibilité du liquide, affinité avec la cellule, potentiel électrique, et mécaniquement, le mouvement puisque la pression cellulaire permet à nos cellules, pressées comme des petites éponges, de se laisser imbiber, aussi bien de l'eau que de l'oxygène et des nutriments.
Si l'importance ce sujet, de ses ramifications au niveau des territoires d'exploration qu'il développe, et que le début de présentation que je vous en ai fait vous donne envie que ce projet aboutisse vite, sous forme de documentaire dans un premier temps, de livre dans un second, ne vous privez
pas. Impliquez-vous financièrement, mais faites-moi aussi part de tout ce que vous identifiez.

"Notre plus grand malheur est de croire vraies des choses qui sont fausses et de ne pas avoir les moyens de savoir qu'elles sont fausses" Professeur Jean-Paul Escande. Le but est de transmettre des informations qui permettent de faire des choix en connaissance de cause. Savoir ce que l'on fait est juste le préalable à la responsabilité.
J'en suis donc à la recherche de financement pour retravailler et rééditer mon premier documentaire "La Cure Nature" et en produire un beaucoup plus complet, plus "ambitieux" qui fasse le tour de ce que j'évoque plus haut, et beaucoup plus, et apporte surtout des solutions

Comme les jus obtenus avec un bon extracteur. On garde la vitalité, on supprime les fibres, "simple squelette du vivant". Les plantes ne pourraient être liquides. Notre organisme, après les avoir triées, les rejette. Mais attention, il faut bien supprimer tout ce qui est cellulose, par exemple.

Sans la salivation, la mastication, elle va poser de sérieux problèmes. Il vaut mieux, en ce cas, Je vous parlerai de l'argile, douze pour cent de la planète, et du charbon que le monde animal sait si bien utiliser. Du magnésium, du bicarbonate. Toutes choses simples, en harmonie avec le vivant,
pas chères et efficaces. Et aussi du régime des Gladiateurs... Parfaitement végétariens !

Les idées de co-productions alliant la diffusion DVD, Télé (contact Arte), YouTube etc. Un tel sujet est fait pour être mis à la disposition du plus grand nombre.Au final il n'y a qu'un état des choses, mais les différentes voies possibles, si elles ne peuvent qu'aboutir à cet unique état des choses, offrent quelques variantes. Tenir compte du point de départ de chacun est impossible, mais les grandes lignes culturelles, certaines croyances, peuvent
être prises en compte pour faciliter le voyage.

"Dieu a inventé la nourriture, le diable la cuisine.
Comme le dit Jean-Luc Godard "Si on a un euros, on peut faire un film à un euro". N'hésitez cependant pas à être généreux et à commenter.
Quand je pense à tout ce que l'on dépense dans une vie, à tout qui peut être produit comme documentaires et films inutiles, je suis certain que l'on devait consacrer une super production a cette question. Saint Exupéry disait aussi "Je donne rai toute mon œuvre pour une heure passée avec les camarades". Il ne confondait rien. Mais un autre leitmotiv le relançait en permanence.

"Qui suis-je si je ne participe pas ?" et
"Que faut-il dire aux hommes ? Que peut-on bien dire aux hommes ?".
Parlant d'argent, et à propos de sa femme "Combien tu l'aimes ?"
dit un personnage de "L'Important c'est d'Aimer".
Combien, vous, vous l'aimez cette question ?

Offert pour toute participation, à partir de 100 €, à la production du prochain.
Je vous prépare d'autres cadeaux, invitations à la première, projections débats. Comme le dit mon Chaman Préféré

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Jean-François Coulange - Être enVie & enVie d'Être Adresse Postale 100 Rue Balard 75015

01 44 26 15 14 - 06 11 97 84 24 - contact@etre-en-vie.fr - sur iphone etreenvie@me.com

Chi Machine France www.chi-machine-france.fr - Être enVie & enVie d'Être www.etre-en-vie.fr

 

 

Expérimentez le ressenti et allez vers l'autonomie,

lâcher prise et peur, devenez vie et confiance,

excellente vidéo de Thierry Casasnovas.

Merci à son éclairage !

L'essentiel de la naturopathie résumé à merveille en 30 minutes !


Quelques images de mon potager, en ville au 7° ciel !