« LE LAIT, C’EST SURTOUT
DE LA COLLE, DES HORMONES ET DU PUS !
»
On
ne peut aborder ce sujet sans parler
d’Albert Cohen, surnommé
aux USA, « l’homme anti-lait ».
Il a écrit l’un des livres les plus
fascinants et les plus documentés sur ce
sujet : MILK,
The deadly poison (« Le lait, poison mortel
»), qui a fait grand bruit aux USA (pas
encore traduit en français). Dans sa
dédicace, il s’adresse à « toutes les
personnes dans le monde qui souffrent de
toutes sortes de troubles de santé sans
être conscients de l’origine alimentaire de
leurs maux. Puissent-elles découvrir que la
fontaine de jeunesse, pour elles, leurs
enfants et les générations futures,
pourrait bien venir du simple fait
d’éliminer le lait de leur vie ! »
Ce livre montre comment les autorités
sanitaires ont été perverties par les
grandes multinationales qui, dans leur
recherche de profit sans cesse croissant,
ont mené notre société au bord du suicide
nutritionnel. Le lait, au fil des ans,
malgré sa blancheur, est devenu pour les
cellules de notre corps l’équivalent des
marées noires ; il est tellement
omniprésent dans l’alimentation humaine
qu’il est difficile d’y échapper !
Au départ, le lait (de vache) est
un aliment totalement inadapté à l’adulte
en général et à l’humain en
particulier.
Le lait est trop riche en protéines, qui
pour être éliminées par le corps, obligent
celui-ci à mobiliser son calcium. Aussi, la
stupidité dogmatique pousse les personnes
âgées à consommer massivement des produits
laitiers, ce qui aggravent encore la
décalcification ! De plus la pasteurisation
(obligatoire) en fait un polymère (grandes
chaines moléculaires peu assimilables),
avec 300 fois plus de caséine que le lait
maternel.
10% DE
LA POPULATION EST INTOLERANTE PLUS OU MOINS
GRAVE AU LAIT
Je fais partie de ceux-là….avec une
tachycardie à la clef dans les 20 minutes
qui suivent. Néanmoins, rien n’est fait
dans les restaurants pour aider ces «
bizarres », obligeant à demander pour
chaque plat s’il contient du lait, de la
crème fraiche ou du beurre. Il serait
pourtant charitable de la part des
restaurateurs de mettre sur les étiquettes
des buffets : « avec ou sans produits
laitiers. » Il est même difficile de
trouver une simple soupe de légumes sans la
cuillère de crème « fraiche »
pré-incorporée. Quant aux desserts, inutile
d’y penser, ils sont à 98% aux laitages, y
compris les sorbets industriels qui,
illégalement, contiennent du lait en
poudre.
Dans les produits de supermarchés, le lait
et dérivés se cachent partout dans les
moindres recettes industrielles, aussi
est-il devenu indispensable de se munir
d’une loupe pour éplucher les étiquettes en
caractères 6, alors qu’il serait tellement
plus sympathique de marquer en gros
« avec ou sans dérivés du lait
»
Mais ces 10%
d’intolérants aux laits sont ils des
malades ? Et bien justement NON car ils ont
la chance d’avoir un organisme encore
vigilant, avec des alarmes qui
fonctionnent. Plus
on est encrassé et moins ces alarmes
réagissent, et le problème de ces personnes
est qu’ils n’ont plus aucun moyen pour
faire le rapport entre ce qu’ils absorbent
et leurs paquets de misères physiques qui,
en outre, comme les fuites d’eau
s’aggravent sans cesse avec le temps. Il
suffit de voyager et d’observer les gens
pour constater que dans les pays où les
produits laitiers ne sont pas dans la
coutume (il y en a de moins en moins), on
ne trouve pratiquement pas de cas de
problèmes de calcium osseux, pas de cancers
du sein ni de la prostate.
MAIS
PARLONS DES BEBES
De nombreux bébés sont maintenant
violemment allergiques aux laits en poudre
pour biberons et les pédiatres font changer
de marque….. et c’est pareil ; le
nourrisson se prend un bel eczéma que le
médecin va s’appliquer à faire rentrer avec
….un corticoïde qui va transformer l’eczéma
en asthme (beaucoup plus grave) – et tout
cela à partir d’un enfant qui était en
parfaite santé et qui avait simplement le
tort d’essayer d’éliminer le poison avec
lequel on le nourrit.
Mais alors, qu’en est-il des bébés qui
réagissent aussi au lait du sein de leur
mère ? Peut –être leur faudrait-il changer
de mère ( je veux dire de nourrice) ; car
rappelez-vous que tout ce que la mère
consomme passe dans le sein. Si la mère
consomme des épinards son lait est aux
épinards, des carottes, du lait à la
carotte, et du lait de vache (pourri)…..
!
A noter que j’ai vu des bébés allergiques à
tout produit laitier quel qu’il soit et qui
ont parfaitement poussé sans problèmes avec
des purées de légumes.
Par ailleurs, il est intéressant de
considérer qu’un veau passe à l’état adulte
en 3 ans pendant qu’un humain met 20 ans.
Il est donc normal que le lait de vache
contienne beaucoup plus d’hormones de
croissance que le lait de femme.
Nota : La bovinisation humaine est de fait
une formule intéressante pour faciliter le
pouvoir des gouvernants.
LES
VACHES A LAIT SONT DES VACHES
MALADES
La multinationale Monsanto a produit une
hormone de croissance destinée à augmenter
la production de lait. Grâce à ses
bénéfices colossaux, elle a pu soudoyer les
autorités sanitaires et politiques pour
qu’elles laissent mettre sur le marché ce
produit sans avoir évalué sa
toxicité.
Les éleveurs auxquels on a imposé
cette hormone de croissance se sont
retrouvés avec des vaches qui produisaient
40 à 50 litres de lait par jour
(auparavant, elles en donnaient au plus 14
litres). Il a fallu traficoter
génétiquement un nouveau type de vaches,
les Holstein, avec les pattes plus longues
afin qu’elles ne se marchent pas sur les
pis ; les pauvres bêtes ne pourraient pas
suivre sur le plan alimentaire, même en
broutant 24 h sur 24 si l’on ne les
complémentait pas avec des farines.
A savoir qu’une vache normale vit
25 à 30 ans, et celles-là sont usées à la
corde en…..7 à 8 ans.
Par ailleurs ces vaches sont sujettes à de
nombreuses infections, si bien que l’on a
dû utiliser des antibiotiques en quantité.
Les taux d’antibiotiques dans le lait sont
100 fois plus élevés qu’il y a 25 ans et
les autorités sanitaires se sont contentées
d’élever les normes limites autorisées. Aux
USA, sur les 23 000 tonnes d’antibiotiques
fabriqués chaque année, près de la moitié
est utilisée pour le bétail. Il est
hallucinant de constater qu’aux USA
80% des vaches souffrent de leucémie.
Alors, comment le lait de ces vaches
peut-il être sans danger pour l’homme
?
LE
CANCER DU LAIT
Quand les études scientifiques ont montré
que cette hormone de croissance stimulait
chez l’homme le développement de cancers
lymphatiques, l’association des médecins
américains, l’O.M.S et les autorités
sanitaires ont préféré fermer les yeux car
les intérêts économiques passent avant la
santé des populations. Depuis 1994,
année où l’hormone de croissance obtenue
par génie génétique fut autorisée pour
stimuler la production des vaches
laitières, une véritable épidémie de
cancers lymphatiques a frappé les
USA. Ce type de cancer, rare
jusqu’alors, tue plus que les cancers du
sein, de la prostate, du pancréas et des
organes génitaux réunis. Les citoyens
américains sont devenus, sans le savoir,
des cobayes qui absorbent de l’hormone de
croissance à travers les produits laitiers
dont ils consomment 90 millions de tonnes
chaque année.
Pourtant l’Europe a résisté et, malgré la
pression des multinationales américaines
(notamment le dossier fourni par Monsanto
qui ne comptait pas moins de 23 000 pages)
la commission du Marché Commun qui a étudié
la question a refusé l’utilisation de
l’hormone de croissance car elle estimait
que les preuves de son innocuité n’étaient
pas suffisantes. Avec la passion d’un
détective, Cohen, « l’homme anti-lait », a
mis en évidence, de façon irréfutable parce
que prouvée par des documents officiels, la
façon dont le public américain a été
trompé. Au lieu de faire connaître les
facteurs nutritionnels qui créent ou
favorisent le cancer, on a continué à
détruire les tumeurs avec la chirurgie et
la chimiothérapie. C’est plus rentable,
n’est ce pas ? Alors qu’aux USA, du
temps de nos parents, explique Cohen, une
femme sur 20 était atteinte de cancer du
sein, aujourd’hui une femme sur 3 est
touchée ! Quand on pense aux milliers
d’enfants souffrant de leucémie et traités
par des chimiothérapies hypertoxiques, on a
le coeur brisé devant tant de mépris de la
santé publique.
Nota : En cas de cancer,
la première chose à supprimer TOTALEMENT,
ce sont les produits laitiers, puisqu’ils
sont bourrés d’hormones de croissance.
Espérer une guérison sans cette suppression
draconienne est une utopie qui semble
ignorée de la plupart des médecins.
PUBLICITES
MENSONGERES
On découvre ainsi que la civilisation
moderne est dirigée par des lobbies
dangereux pour la santé publique, lobbies
qui ont infiltré les administrations et
trompé le public depuis des années par des
publicités mensongères. Ainsi, Nestlé,
affirme dans sa publicité pour les produits
pour bébés, que « provenant des cultures
contrôlées en permanence par les
spécialistes Nestlé, tous ces produits sont
exempts de substances nocives. L’enfant
reçoit ainsi, en tout sécurité, une
alimentation dont la densité nutritionnelle
correspond parfaitement à ses besoins ».
Stupéfiantes contre-vérités ! Pourtant
certains des médecins et des scientifiques
qui travaillent dans cette grande
multinationale n’ignorent pas les
informations que nous citons. Mais ils sont
tenus de garder le silence pour ne pas
perdre leur poste. Ainsi, sont perpétrés
les mythes officiels qui correspondent aux
impératifs du profit économique.
Il y a quelques années, un groupe
d’écologistes avait montré que Nestlé était
responsable de la mort de MILLIONS
d’enfants en poussant les mères à renoncer
au lait maternel pour donner à leurs
enfants du lait en poudre. Sous la
pression du public scandalisé, la
multinationale a légèrement tempéré son
ardeur publicitaire sur ce point mais elle
continue à tromper les consommateurs en
leur faisant croire à l’innocuité de ses
produits qui sont pleins de pesticides, et
d’additifs chimiques hautement néfastes
pour la santé ! En effet, le lait est une
vraie poubelle puisque la vache concentre
tous les pesticides, herbicides et poisons
qui sont contenus dans l’herbe ou les
granulés qu’elle mange.
DES
MILLIONS D’AMERICAINS ANEMIQUES ET
DIABETIQUES
La cause la plus fréquente de cette carence
est un manque de fer. La consommation de
lait entraîne souvent des saignements de la
muqueuse intestinale, par un phénomène de
réaction allergique aux protéines du lait,
ce qui fait perdre beaucoup d’hémoglobine.
Les principaux symptômes de l’anémie sont :
la faiblesse, la fatigue, la dépression et
l’irritabilité.
On remarque cette anémie par perte
de fer chez un tiers des enfants nourris au
lait de vache, alors que ceux nourris au
lait maternel n’en souffrent
pas.
On a pu lire dans le New England Journal of
Medicine de juillet 1992 : « Des études ont
suggéré que les protéines du lait
pourraient jouer un rôle dans l’apparition
du diabète chez l’homme. Les patients
diabétiques insulino-dépendants produisent
des anticorps contre les protéines du lait
qui participent au dysfonctionnement des
îlots de Langerhans, dans le pancréas,
centre de fabrication de l’insuline. Il
s’agit d’une réaction auto-immune ».
Le véritable problème à la base du
développement du diabète est l’énorme
quantité de graisses contenue dans
l’alimentation occidentale, à cause de la
viande, et des produits laitiers.
Des expériences faites avec des
étudiants en médecine ont montré qu’en une
semaine à peine d’alimentation très riche
en graisse, 50% des étudiants étaient
devenus diabétiques.
TOUS ENGLUES A
LA CASEÏNE
80 % des protéines du lait et du
fromage sont constitués de caséine, qui est
une puissante colle, celle qui fait
notamment tenir les étiquettes sur les
bouteilles de bière.
Essayez d’arracher une des ces étiquettes
et vous verrez la force de cette colle ! On
utilise aussi la caséine pour coller les
meubles, et nos grands parents s’en
servaient pour coller les papiers peints !
Pensez à ce que cette colle peut provoquer
dans votre organisme. Comme la caséine est
une protéine étrangère, le corps crée des
anticorps pour la neutraliser. Cette
réaction antigène/anticorps fait sécréter
de l’histamine et engendre une intense
production de mucus, voire de pus, et
surtout d’inflammations (sinusites otites,
bronchites, maladies en ite….). De
nombreux chercheurs pensent que la caséine
est la principale substance responsable des
inflammations articulaires que l’on voit
dans les arthrites rhumatoïdes.
Cela expliquerait pourquoi la suppression
de tout produit laitier permet la plupart
du temps le soulagement rapide de ces
affections.
Depuis des années, je préconise pour
nettoyer les colloïdes laitiers du système
lymphatique, du CALCAIRE DE VERSAILLES 8 DH
(en pharmacie) - 1 ampoule au lever.
ET LE
CALCIUM ? UNE CROYANCE BIEN
ENRACINEE
Le calcium du lait se métabolise mal chez
les adultes, aussi a-t-il tendance à se
déposer d’une façon désordonnée un peu
n’importe où dans les coins tranquilles,
plutôt que là où il faut – c’est ainsi que
se développent des exostoses, des
becs de perroquet, et même la maladie de
Paget où le calcium de la colonne
vertébrale migre vers l’aorte par un
phénomène électrolytique.
Alors où donc trouver le précieux calcium ?
Mais dans tous les légumes il y en a
partout ! Il y a près de 25 ans que je suis
devenu intolérant aux produits laitiers et
je n’ai aucun problème de calcification et
aucun problème arthrosique. Je ne connais
d’ailleurs pas de végétariens qui aient un
problème de calcium.
Arrêtez de croire aveuglément ce que vous
dit la télé et ce que votre médecin vous
répète comme un perroquet.
Michel Dogna
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